Un vent de désappointement a soufflé à travers l’Ouganda lorsque les nouvelles du cachet exorbitant demandé par Burna Boy ont commencé à se répandre. Le célèbre chanteur devait se produire lors de la cérémonie d’ouverture du tout nouveau stade Nakivudo, mais il exigeait rien de moins qu’un million de dollars, l’équivalent de 800 millions de naira.

Cette controverse souligne clairement une nuance entre le désir d’attirer des artistes internationaux de renom et la nécessité de répondre aux besoins prioritaires du pays. Alors que la cérémonie d’ouverture du stade Nakivudo devait être un événement festif, elle a pris une tournure inattendue avec cette révélation sur le coût élevé de la performance de Burna.

La colère des Ougandais face à la demande de Burna Boy

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Cette somme astronomique a immédiatement déclenché une vague d’indignation parmi les Ougandais, qui se sont rapidement interrogés sur la pertinence d’une telle dépense pour un artiste étranger.

L’idée de consacrer une somme aussi considérable à un seul artiste, même s’il s’agit d’une star internationale, a été perçue comme une offense à la fois envers la population ougandaise et envers les artistes locaux.

L’Ouganda doit revoir ses priorités

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De nombreux Ougandais ont exprimé leur mécontentement et ont appelé le gouvernement à revoir ses priorités. Ils ont souligné que l’argent prévu pour le cachet de Burna pourrait être investi de manière bien plus judicieuse dans des projets essentiels qui profiteraient véritablement à la population.

L’Ouganda devra désormais réfléchir à la manière de gérer de telles situations à l’avenir.