En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Découvrez nos offres pour annonceurs - Publicité 4 Publicité 4 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Visitez 3Vision Group - Publicité 3 Publicité 3 banner Publicité 3

Burkina Faso : des cartes d’identité non délivrées en raison de la dépigmentation



La Carte Nationale d’Identité Burkinabè (CNIB) est un document important permettant à tout citoyen de justifier son identité et sa nationalité Burkinabè. Mais on s’en rend compte que certaines personnes se dépigmentent au point de perdre leurs vraies identités.

Dans ce cas, nombreux se sont vus leurs cartes d’identité non délivrées pour des raisons de dépigmentation.

Lire aussi : Côte d’Ivoire/Élection : Le RHDP se réunit pour désigner son nouveau candidat

Selon les informations, les gens après avoir se fait établir des cartes d’identité, se sont dépigmentés. « Des cartes d’identité n’ont pas pu être délivrées du fait de non reconnaissance faciale »,

Lors d’une conférence de presse, Aristide Beré, le directeur général de l’office National d’Identification (ONI), a donné des raisons qui sous-tendent le non établissement de certaines cartes d’identité burkinabés  (CNDB).

Lire aussi : Côte d’Ivoire : Laurent Gbagbo demande un simple passeport ordinaire pour rentrer

« Nous ne roulons pas pour un parti politique. Nous n’avons aucun moyen de savoir qui est militant du MPP ou d’un autre parti. Si quelqu’un est bloqué, c’est parce qu’il a un problème particulier lié à sa personne. Cela peut être un problème de prénom, d’acte de naissance ou de reconnaissance faciale (…). Sur les 179 demandes,   toutes les demandes d’enrôlement de tous les partis politiques sont là. Quel parti s’est vu refuser une mission de collecte ? Personne. Donc nous pensons que le débat est politicien et nous ne voulons pas nous mêler. S’il y a des récriminations particulières, on peut les prendre en compte parce que nul n’est parfait. Mais sur les accusations, nous nous inscrivons en faux », a-t-il indiqué.

Par exemple la situation de centaines personnes fortement empêche la délivrance parce que le système considéré que la personne a complètement changé et c’est comme une tentative d’usurpation d’une nouvelle identité, a expliqué le directeur.

 

Lire aussi : Côte d’Ivoire/Élection : Le RHDP se réunit pour désigner son nouveau candidat

Rejoignez DOINGBUZZ PREMIUM

Découvrez un monde de contenus exclusifs et d'opportunités.

Accédez Maintenant

Lancez-vous dans une nouvelle aventure avec DoingBuzz

Découvrez une multitude d'offres d'emploi et de bourses d'études adaptées à votre parcours.

doingbuzz DIRECT
Mots-clés associés à l'article :

Newsletter

Abonnez-vous et accédez à tous nos articles en premier !