Le président Emmanuel Macron a vivement réagi aux rumeurs persistantes circulant sur les réseaux sociaux prétendant que son épouse, Brigitte Macron, serait une femme transgenre. À l’issue de la cérémonie officialisant l’IVG dans la Constitution, Macron a qualifié ces allégations de « fausses informations et scénarios montés », dénonçant le préjudice causé par ces théories.

« La pire des choses, ce sont les fausses informations et les scénarios montés, avec des gens qui finissent par y croire et qui vous bousculent, y compris dans votre intimité », a commenté le président de la République, interrogé par des journalistes sur le sujet à l’issue de la cérémonie scellant l’IVG dans la Constitution.

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Ces rumeurs circulent depuis l’élection d’Emmanuel Macron en 2017, suggérant que Brigitte Macron, née Trogneux, aurait été un homme nommé Jean-Michel avant une transition de genre. Le président a exprimé son exaspération face à ces théories conspirationnistes qui touchent non seulement l’intimité de sa famille mais également la Première dame elle-même.

Emmanuel Macron a appelé à un renforcement de « l’ordre public numérique » sur les réseaux sociaux, soulignant le besoin d’une régulation plus stricte pour contrer ces fausses informations. Il a souligné la nécessité d’éduquer et de sensibiliser, affirmant que le combat féministe est l’affaire de tous, hommes et femmes.

« Contre ce machisme, il faut utiliser le droit, la justice » a élaboré Emmanuel Macron, appelant à un renforcement de « l’ordre public numérique » sur les réseaux sociaux, « un formidable lieu d’expression des plus fous » qu’il estime encore être « sans règles. » Deux femmes seront d’ailleurs jugées le 6 mars 2025 au pénal en diffamation à Paris pour avoir diffusé des rumeurs transphobes sur l’épouse du chef de l’Etat, a-t-on appris vendredi de source proche du dossier.

Le président a conclu que des mesures légales et judiciaires devraient être prises pour lutter contre de telles attaques, appelant à l’utilisation du droit et de la justice pour contrer le machisme en ligne. Deux femmes seront jugées le 6 mars 2025 au pénal à Paris pour avoir diffusé des rumeurs transphobes sur Brigitte Macron.