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Brigitte Adjamagbo-Johnson à Faure Gnassingbé : « Nous n’accepterons jamais que les libertés publiques soient confisquées »



 

Les libertés publiques reconnues au Togo ne sont pas le fruit d’un hasard mais de luttes âpres à travers l’histoire. Visiblement, elles semblent être sur le point d’être confisquées selon les analyses de la Dynamique Mgr Kpodzro. En conférence de presse ce mercredi 28 avril 2021, les membres de la DMK ont dénoncé d’une seule et même voix les atteintes aux libertés publiques.

Selon la coordinatrice de la DMK, il n’y a pas question à se laisser abattre par quelque intimidation que ce soit. C’est plutôt l’heure de continuer le combat pour que chaque Togolais puisse jouir de ses libertés telles que prévues par la Constitution. En effet, plusieurs membres de la DMK ont été victimes d’intimidations, de séquestrations, de menaces d’emprisonnement par endroit en voulant rallier d’autres localités du Togo.

Les 23, 24 et 25 avril derniers, les membres de la DMK avaient voulu animer des conférences de presse synchronisées dans les chefs-lieux de régions et certaines villes du Togo. Si dans certains endroits, les manifestations ont eu lieu, dans d’autres, ce sont les forces de l’ordre qui ont tout empêché sur ordre des autorités locales.

Une fois que les délégations sont sorties de Lomé, il leur a été très difficile de pouvoir organiser des conférences de presse ailleurs et même des rencontres avec la base. Elles ont été informées dans certains endroits que Lomé est « différente » de l’intérieur du pays et qu’il est préférable de retourner dans la capitale. Ce qui revient à dire que la liberté de faire les conférences et autres manifestations n’est pas forcément la même partout. Une réalité que refuse d’accepter Mme Adjamagbo Brigitte.

« Nous ne pouvons pas nous laisser faire. Le Togo appartient à nous tous. (…) Le combat que mène la DMK est le combat de tout le peuple togolais. C’est aussi le combat pour la véritable indépendance », fait savoir Mme Adjamagbo-Johnson.

Elle se veut claire dans ses propos. Il n’y a pas question de laisser le pouvoir en place continuer avec les intimidations de tout genre. C’est pour cela que « la DMK n’acceptera jamais que les libertés chèrement acquises soient confisqués par le parti au pouvoir ». D’autres membres de la DMK épousant cette vision des choses estiment que le régime autocratique RPT-UNIR doit arrêter avec ces méthodes d’un autre âge.

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