En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Découvrez nos offres pour annonceurs - Publicité 4 Publicité 4 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Visitez 3Vision Group - Publicité 3 Publicité 3 banner Publicité 3

Bénin : Mauvaise nouvelle pour Reckya Madougou



 

L’opposante béninoise Reckya Madougou ne va pas sortir de sa cellule de sitôt. La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a rejeté ce vendredi 16 juillet, la demande de mise en liberté provisoire introduite par ses avocats. Une demande formulée sur les conditions de détention que déplore la défense de l’ancienne ministre. Les avocats avaient prétexté aussi que le dossier de « l’accusation était vide ».

Toutefois, leur requête n’a pas eu d’écho favorable au sein de la CRIET. Les juges de la chambre des libertés et de la détention n’ont pas trouvé le poids des raisons de la requête formulée par la.défense de Reckya Madougou consistant. Ainsi, leur demande a été rejetée. L’ordonnance de rejet prise vendredi et transmise le samedi à l’équipe de défense de l’opposante béninoise, est basée sur deux motifs. Deux raisons pour lesquelles la CRIET prolonge la détention de la candidate recalée de la présidentielle d’avril 2011.

Primo, la présidente de la Chambre des libertés et de la détention, sourient que les faits reprochés à l’inculpée, Recka Madougou, sont graves. Secundo, elle estime que l’opposante et ses collaborateurs n’ont pas encore fini de subir la phase des interrogatoires. Ils n’ont été interrogés qu’une fois et, selon elle, les différentes déclarations nécessitent « d’autres interrogatoires et même des confrontations ». La présidente de la Chambre des libertés et de la détention concluent donc que l’ancienne ministre et ses coïnculpés doivent tous rester à la disposition de la justice. D’ailleurs, des sources indiquent que l’opposante politique devrait comparaître le jeudi 22 juillet prochain pour un second interrogatoire, devant le juge d’instruction.

C’est le vendredi 9 juillet dernier que l’avocat français de Pierre Stasi de l’ équipe de défense de l’ancienne conseillère de Faure Gnassingbé, a introduit auprès de la CRIET, une requête en vue de la remise en liberté de leur cliente. Reckya Madougou est placée sous mandat de dépôt depuis mars dernier pour « association de malfaiteurs et terrorisme ». Elle est en détention à la prison de Missérété en compagnie d’autres personnes accusées d’être ses complices.

Rejoignez DOINGBUZZ PREMIUM

Découvrez un monde de contenus exclusifs et d'opportunités.

Accédez Maintenant

Lancez-vous dans une nouvelle aventure avec DoingBuzz

Découvrez une multitude d'offres d'emploi et de bourses d'études adaptées à votre parcours.

doingbuzz DIRECT
Mots-clés associés à l'article :

Newsletter

Abonnez-vous et accédez à tous nos articles en premier !