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Base aérienne de Daloa/ Le Ministre de la Défense interpellé sur un problème foncier



 

La construction de la base aérienne de Daloa pourrait être affectée pendant un certain temps. Le différend entre le promoteur et les villageois est à la base de cette affaire. A Daloa, M. Akoto Assamoi Ernest a été critiqué pour avoir géré ce projet chéri par le ministère de la Défense.

Le promoteur immobilier Akoto Assamoi Ernest se dispute avec les habitants de Daloa. Le différend entre M. Akoto et le requérant était lié à la construction de la base aérienne de Daloa. Afin de construire cette base militaire, le pays a promis de racheter des terres aux villages environnants. D’après les documents dont nous disposons, M. Akoto est le client de cette opération.

Mais aujourd’hui, des choses étranges se produisent parmi les villageois. Selon M. Bahi Gosse Patrice, Akoto Assamoi Ernest a tenté de faire s’affronter les villageois. De son explication, nous avons remarqué que la rémunération de M. Akoto à leur égard n’est pas très claire. Indique que 3 villages sont concernés. Par exemple, dans son village, il possède le plus grand terrain qui servira à construire une base aérienne. 62 hectares, dit-il.

Il a interrogé le ministre de la Défense car le prix de rachat au mètre carré de son terrain et de celui de ses parents était ambigu. Selon lui, le prix du mètre carré a été fixé à 1000 FCFA par le gouverneur. Dans les 1000 FCFA, il a révélé que le promoteur Akoto proposait de facturer 400 FCFA, tandis que les villageois proposaient de facturer 600 FCFA. Il a condamné et exigé qu’un document indiquant clairement le prix payé par le pays soit produit par M. Akoto. Dans ce cas, il y aura opposition.

Pourquoi ? Car selon le plaignant et ses partisans, ce partage équivaudrait à donner à M. Akoto au moins 2 milliards de FCFA. Au début, ils pensaient que son rôle était suffisant, mais le plus important était qu’ils voulaient y voir plus clair. Aujourd’hui, M. Bashi a déclaré qu’il devait s’en remettre à la justice, notamment au ministre de la Défense. Il a été demandé au ministre d’Etat Téné Birahima Ouattara de porter une attention particulière à cette question sensible. Ils ont révélé qu’il avait au moins 695 hectares.

 

M. Akoto a contacté les villageois par téléphone, et il a dit qu’il n’avait aucun problème avec les villageois. Il nous a demandé d’aller à Daloa pour interviewer le responsable du terrain etc. Lorsqu’on lui a demandé s’il avait fait passer le prix national du mètre carré aux villageois, s’il était vraiment un aménageur, il a raccroché en colère. Puis il a rappelé et menacé : « Si vous écrivez sur moi, je vous poursuivrai en justice. Avant de lui poser une autre question, il a raccroché.

Les villages concernés sont Bekipréa, Zakoua et Gbetitapéa. Les trois villageois qui ont eu un entretien avec le préfet sur le prix du mètre carré le 24 novembre doivent rencontrer M. Akoto. Selon les villageois, quand Akoto se tenait à sa place, les villageois voulaient 800 FCFA sur 1000 FCFA. Par conséquent, essayez à nouveau la rencontre avec M. Akoto pour négocier le prix au mètre carré. Le cas précédent a subi des changements bouleversants.

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