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Bally Ferro : « Ouattara a beau violer la Constitution, la France tolère, l’intolérable »



« Diviser les Africains afin de mieux régner », Bally Ferro dénonce la politique de la Macron malgré le viole de la Constitution par Ouattara.

« Vous voulez votre indépendance !? Prenez-la donc. » Charles de Gaulle était dans tous ses états face à l’hostilité qui accueillait la Communauté franco-africaine. La menace était claire et nette. Et en dehors de la Guinée, les autres pays d’Afrique noire francophone ont accepté une indépendance sous contrôle. Car c’était déshabiller Pierre pour habiller Paul.

En effet, le style colonial n’a pas évolué dans son mode opératoire. Les naissances des indépendants se sont opérées sous assistance afin que, pieds et poings liés, ils soient maintenus dans le giron. Les insoumis comme Sékou Touré, Modibo Keita, Sylvanus Olympio, Thomas Sankara et Laurent Gbagbo sont soit férocement combattus soit renversés soit exécutés soit déportés. Comme au temps colonial avec des complicités internes.

Lumumba tenait ces propos prémonitoires : « Si je meurs demain, ce sera parce qu’un Blanc aura armé la main d’un Noir. » Si l’indépendance a été assassinée, la démocratie imposée au forceps est une illusion tant qu’elle ne participe pas à maintenir le pays dans le pré-carré.

 

C’est un cache-sexe pour diviser les Africains entre chrétiens et musulmans, nord et sud afin de mieux régner. Ainsi, en 2010, Gbagbo a beau être déclaré vainqueur de la présidentielle, il sera traqué, au mépris du droit, avant d’être arrêté. Comme au temps colonial. En 2020, Ouattara a beau violer la Constitution, la France tolère, au mépris du droit, l’intolérable puisque pion de l’Eco-Cfa, il est un bras séculier.

 

A cet effet, Modibo Keita tenait, en 1968, ce discours qui scellait son sort: « J’ai chassé le colonialisme de chez moi. Mais il continue de roder autour de nous. Il risque de revenir un jour avec l’aide d’un mauvais fils du pays ». Car avec la collaboration assidue de l’élite africaine, le colonialisme a de beaux jours devant lui. Et l’Afrique continue de broyer du noir, tombant de Charybde en Scylla au point que son autonomie est renvoyée à la saint glinglin. A l’instar des DOM-TOM.

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