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Attentat de Paris; la jeunesse africaine au pied du mur



Nous voici encore une fois au pied du mur. Le 13 novembre passé, le peuple français a été frappé par une terrible tragédie. Un attentat qui s’est soldé par 200 morts et plusieurs centaines de blessés. En tant qu’humain j’y suis touché et donc je place une pensée spéciale pour toutes les familles des victimes.
Les mots qui s’en suivront n’auront pas leur raison d’être si mon peuple faisait preuve de maturité. Le bleu blanc et rouge a mis leurs photos de profil en filigrane. Pourtant, plus tôt en Avril, ils étaient tous ou du moins la plupart muets comme des tombes devant le massacre à l’université de Garissa au Kenya. Insensibles à la douleur de leurs frères et sœurs, ils sont tous programmés pour regarder en direction de l’homme blanc. Il n’y a même pas eu de mouvement sur les réseaux sociaux comme ce fut déjà le cas encore plus tôt en Janvier lors de l’attentat contre Charlie Hebdo. On avait du mal à distinguer les gens par leurs prénoms. Tellement ils s’appelaient Charlie! En passant un hommage aux étudiants sénégalais. Les seuls à sauver l’honneur à travers leur manif de soutien à ceux de Garissa. Pourtant tous ces attentats n’ont qu’un dénominateur commun: La guerre des religions. Je ne parlerai que de ça sans trop généraliser pour déboucher sur les guerres civiles qu’ils pistonnent ni les milliers de frères qui perdent leurs vies en voulant rallier le vieux continent.
Le constat est simple mais assorti d’une grosse amertume. Une barbarie que les grands de ce monde ont engendré mais qui réussissent chaque fois à faire diversion pour  fuir leurs responsabilités.
Le clou de la mascarade sera sans doute la journée de deuil décrétée par Yayi Boni au Bénin. Lui qui versait de chaudes larmes à Paris en Janvier dernier provoquant l’indignation de tout le continent africain.
Je veux être bref donc je termine ce texte en écoutant Réveillez-vous de Tiken-Jah-Fakoly. Une chanson que je vous dédie tous d’ailleurs.

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