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Arabie Saoudite : l’ONU condamne « l’exécution de masse »



Michelle Bachelet, Haut commissaire des Nations unies (ONU) aux droits de l’homme, a condamné, lundi 14 mars, la décapitation par l’Arabie saoudite de 81 personnes en une seule journée pour des motifs liés au terrorisme.

Michelle Bachelet, le haut commissaire de l’ONU aux droits de l’homme, a exhorté les autorités saoudiennes à mettre fin à toutes les exécutions et à encadrer les lois antiterroristes du pays conformément aux normes internationales.

Cette déclaration est intervenue après que l’Arabie saoudite a exécuté samedi 81 personnes condamnées pour des crimes tels que des meurtres et l’appartenance à des groupes militants.

« J’appelle les autorités saoudiennes à mettre un terme à toutes les exécutions, à instaurer immédiatement un moratoire sur l’application de la peine de mort et à commuer les condamnations à mort prononcées à l’encontre des condamnés à mort », a déclaré Michelle Bachelet dans ce communiqué.

D’après le communiqué de l’ONU, cette exécution massive a dépassé le nombre total d’exécutions massives qui auraient eu lieu en 2021.

 

L’ONU invite l’Arabie Saoudite à restituer les corps des exécutés aux familles

Michelle Bachelet a déclaré qu’elle savait que parmi les personnes décapitées figuraient 41 personnes appartenant à la minorité chiite qui avaient participé à des manifestations antigouvernementales en 2011-2012. En outre, les personnes exécutées le samedi 12 mars comprenaient sept Yéménites et un ressortissant syrien.

Elle a souligné que leur surveillance avait révélé que certaines des personnes avaient été décapitées après les procès sans offrir un procès équitable. Le haut commissaire de l’ONU a révélé que les condamnations à mort prononcées à l’issue de procès n’offrant pas les garanties d’équité requises ne sont pas autorisées par le droit international des droits de l’homme et le droit humanitaire et peuvent constituer un crime de guerre.

Mme Bachelet a appelé les autorités à restituer les corps des personnes exécutées à leurs familles. Dans sa déclaration, elle a souligné que l’Arabie saoudite fait partie des 38 pays qui continuent à appliquer la peine de mort.

Parmi les personnes qui ont été exécutées figurent celles qui ont été condamnées pour des crimes, notamment le meurtre d’hommes, de femmes et d’enfants, a rapporté l’agence AP citant l’agence de presse saoudienne.

 

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