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Après son évasion, Carlos Ghosn s’exprime enfin



Après sa fuite du Japon, Carlos Ghosn, l’ex-PDG du Groupe Nissan-Renault a gardé le silence. L’ancien président de Renault et Nissan se trouve actuellement à Beyrouth et a tenu une conférence de presse ce mercredi 8 janvier 2020.  Il a décidé enfin de briser le silence devant les caméras du monde entier.

Pour lui, cela fait 400 jours qu’il attend ce moment de pouvoir se prononcer devant tous les médias du monde. Il a aussi parlé d’enlèvement brutal de sa personne, lui qui a été emprisonné avant d’être vu assigner à résidence.

« J’ai subi des interrogations de 8h sans avocats. Je n’avais accès à aucune preuve et cela va à l’encontre des droits de l’homme. Le procureur (japonais) avait dit que la situation allait s’empirer. J’ai les preuves », a dit Carlos Ghosn.

Il estime avoir passé tant de jours en cellule isolé, ce qui a-t-il insisté, va à l’encontre des droits de l’homme. Aujourd’hui, il se dit qu’il est important de partager ses mauvaises expériences avec tout le monde pour que les gens aient une idée de ce que fait les juges japonais.

Il a dit qu’il ne se prononcera pas sur ce qui s’est réellement passé lors de sa fuite ni comment cela a été fait. « Je ne vais pas parler de ma fuite du Japon. C’était facile de me jeter la pierre quand j’étais en prison. « Je suis là pour blanchir mon nom », a-t-il expliqué.

L’objectif du système judiciaire, selon Carlos est de le pousser à confesser quelque chose qu’il n’a pas fait. Il affirme vouloir que la vérité sorte et qu’à aucun moment il n’a fui la justice mais plutôt « l’injustice ».

L’ancien patron de Renault-Nissan, Carlos Ghosn, aurait engagé 11 millions d’euros de « dépenses suspectes », selon un audit interne mené conjointement par les deux entreprises.

L’audit interne mené au sein de leur filiale commune RNBV basée aux Pays-Bas a identifié 11 millions d’euros de dépenses suspectes engagées par l’ancien patron de l’alliance automobile franco japonaise Carlos Ghosn.

 

Lire aussi : Carlos Ghosn aurait fuit le Japon dans une malle géante

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