En Côte d’Ivoire, le terme  » influenceur  » a évolué, désignant principalement les personnes qui suivent de près les médias sociaux. Annette Yao, contre con gré, a fait son entrée dans ce monde.

En effet, la popularité croissante du terme ‘influence’ pendant la pandémie de Covid-19, lorsque les réseaux sociaux sont devenus une source principale de divertissement, s’est heurtée à un changement de perception.

Une réalité post-pandémique

Avec l’assouplissement des restrictions liées à la pandémie et le retour à la normale, les créateurs de contenu se trouvent à la croisée des chemins. Le défi est clair : maintenir et améliorer la qualité de leur contenu dans un paysage qui a subi des changements significatifs.

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Malgré sa connotation positive initiale, le terme  » influenceur  » en Côte d’Ivoire a désormais une connotation péjorative. Ce changement est notamment attribué à l’incident controversé des toilettes portatives de Dubaï qui a jeté une ombre sur la communauté des influenceurs.

La réponse d’Anette Yao à l’évolution des tendances

Consciente de l’évolution du sentiment à l’égard des influenceurs, la starlette Annette Yao, célèbre pour être la sœur cadette de l’influenceuse Carmen Sama, a pris une décision importante. Lors d’un chat en direct sur TikTok, elle a abordé le changement sociétal en déclarant : « La célébrité s’est imposée à moi, et j’ai été surprise de voir que 98% des filles ivoiriennes s’identifiaient à moi. »

En réponse à la perception négative qui entoure les influenceurs, Annette Yao a pris une mesure proactive en décidant de poursuivre ses études. Dans son annonce sur TikTok, elle a exprimé son désir d’apporter quelque chose de nouveau à la table, reconnaissant la négativité qui prévaut dans le paysage global de l’influence en Afrique francophone.

Un nouveau chapitre pour Annette Yao

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Si Annette a d’abord gagné en influence grâce à sa sœur Carmen Sama, elle trace aujourd’hui sa propre voie. Avec 20 000 adeptes sur sa page Facebook, La soeur de Carmen Sama est déterminée à redéfinir son récit, s’écartant ainsi du parcours conventionnel des influenceurs en Côte d’Ivoire.

Alors que les attitudes de la société à l’égard des influenceurs continuent de se transformer, la décision d’Annette Yao de poursuivre des études constitue une réponse notable, reflétant l’évolution de la dynamique au sein de la sphère des influenceurs dans la région.