Dans la saga judiciaire qui oppose Angelina Jolie et Brad Pitt, une nouvelle révélation a fait surface. Ce nouveau rebondissement met en lumière les abus présumés subis par l’actrice et ses enfants avant l’incident d’avion largement médiatisé de 2016.

La bataille entre l’ancien couple de pouvoir hollywoodien s’est étendue sur huit années tumultueuses, tournant autour de litiges concernant la garde de leurs six enfants et la propriété du Château Miraval. Récemment, une lueur d’espoir est apparue lorsque Pitt, accusé de violences domestiques, a retiré sa demande de garde partagée, une décision qui aurait été influencée par la majorité des enfants et leurs relations tendues avec leur père.

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Angelina Jolie attaque à nouveau Brad Pitt

Cependant, les tensions restent palpables. Dans un récent dossier judiciaire rapporté par le site américain TMZ, l’équipe juridique de Jolie a révélé que le comportement abusif de Pitt avait commencé bien avant l’incident de l’avion qui a marqué la fin de leur mariage. Bien que les détails concernant les incidents antérieurs à 2016 n’aient pas été fournis, le dossier affirme que « les abus physiques de Pitt envers Jolie ont commencé bien avant le voyage en avion de la famille entre la France et Los Angeles en septembre 2016 ».

Cette allégation surprenante est liée à la bataille juridique autour de Château Miraval. Les avocats d’Angelina Jolie ont déposé une requête pour dévoiler des communications révélant le refus de Pitt de l’autoriser à vendre ses parts sans accepter un accord de non-divulgation (NDA). Les documents contiendraient des informations sensibles liées à la garde des enfants et aux témoignages de la famille, ce qui a poussé Pitt à insister sur la confidentialité.

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Malgré la gravité des accusations, Jolie a exprimé son désir de ne pas poursuivre Pitt en justice, préférant qu’il reconnaisse sa responsabilité et qu’il aide la famille à se remettre du stress post-traumatique présumé. Alors que la procédure judiciaire se poursuit, la vérité derrière les allégations de l’actrice et la résolution de leur différend complexe restent incertaines.