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Alpha Condé : « Je dirigerais la Guinée jusqu’au jour où Dieu voudra »



Le Chef d’État guinéen Alpha Condé, à la tête du pays depuis quasiment dix ans vient de révéler qu’il dirigera le pays jusqu’au jour où Dieu voudra. Il reste fataliste sur son avenir à la tête du pays alors que constitutionnellement il devrait céder son fauteuil en 2020.

Cette tranchante déclaration intervient alors que le Front National pour la Défense de la Constitution (FNDC) mobilise ses troupes pour une deuxième semaine de manifestations contre le changement Constitutionnel.

En déplacement à Boffa ce samedi où il a fait une remise de pirogues modernes aux pêcheurs, le Chef de l’Etat ne s’est pas tu sur l’actualité qui agite son pays.

« Ne suivez pas ceux qui parlent, ils ont déjà été aux commandes ici et n’ont rien fait. Le président Lansana Conté leur disait de faire ce qui est bien pour le pays (…), à leur temps, ils n’ont pas réussi à réaliser de grandes choses ici, pas de courant ni de grands hôtels. Est-ce que ces personnes peuvent vous dire qu’elles peuvent changer ce pays et que vous les croyez ? Le train de la Guinée a bougé et personne ne peut l’arrêter, nous le dirigerons jusqu’au jour où Dieu le voudra », a-t-il déclaré.

Evoquant les dernières manifestations, il a déclaré qu’à Conakry, c’est seulement à Bambéto et Cosa où il y a des mouvements alors qu’à l’intérieur du pays, c’est dans la ville de Mamou.

Le bilan de la dernière mobilisation a fait neuf morts. Défendant le professionnalisme des forces de l’ordre, Alpha Condé insinue que ce sont les manifestants qui seraient les responsables de ces meurtres. Il cite l’exemple du jeune gendarme tué à Mamou dont les circonstances ne sont pas encore éclaircies.

Le président Condé a aussi souligné que : «  les images qui passent sur les réseaux sociaux sont celles des manifestations qui ont eu en Haïti et au Mozambique. Une des images d’une fillette qu’ils montrent est du Cameroun et non de la Guinée », a-t-il dit.

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