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Bénin: affaire Joël Aïvo, Kemi Seba tacle Patrice Talon



La condamnation du constitutionnaliste béninois Joël Aïvo à 10 ans de prison ferme n’a pas plus à Kémi Séba. La preuve, il dit ne pas comprendre que pour des désaccords, on jette au cachot quelqu’un, au lieu de le battre sur le terrain des idées.

L’activiste franco-béninois a évoqué à la face du monde, quelques maux qui ne concourent pas à l’autodétermination de l’Afrique. Seba a expliqué qu’on ne peut pas parler de la lutte contre la Franceafrique en se contentant de parler uniquement du colon exogène sans parler des maux endogènes.

Kemi Seba

 

Kemi Seba

« Il y a des problèmes dans nos pays dont nous devons parler. Tant que la liberté d’expression sera toujours réduite, jamais nos populations ne pourront avancer », martèle  Kemi Seba qui donne en exemple la condamnation à 10 ans, du constitutionnaliste béninois Joël Aïvo.

Lire aussi :  « Il n’y a pas de justice au Bénin », dixit l’avocat  Antoine Vey, après la condamnation de Madougou

Il poursuit en disant : « Ce que je dis, je le dis pour tous nos pays, y compris le mien. Dans mon pays, le président Patrice Talon vient de faire incarcérer un opposant qui se nomme Joël Aïvo à 10 ans. Je n’ai pas d’accointance idéologique ou politique avec ce dernier, mais je ne peux pas comprendre que pour des désaccords on jette au cachot quelqu’un au lieu de le battre sur le terrain des idées (…) ».

Pour information, l’opposant béninois Joël Aïvo, a été arrêté le 15 avril à Godomey-Togoudo, à la périphérie nord de Cotonou, alors qu’il revenait de l’Université d’Abomey Calavi.

Au terme d’une longue journée de procès, le constitutionnaliste a été reconnu coupable mardi 7 décembre de blanchiment de capitaux et de complot contre l’autorité de l’État. Le verdict final se résume à 10 ans de prison ferme et 45 millions d’amende.

 

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