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Affaire Ignace Sossou : Reporters Sans Frontières demande sa libération immédiate



Reporter sans frontière(RSF), dans un message en date du 3 janvier 2020, implore la libération sans condition et immédiate du journaliste Ignace Sossou incarcéré depuis le 24 décembre 2019.

Cette demande du RSF tire toute sa motivation du dernier courrier de l’agence française de développement médias (CFI) qui retrace les propos tenus par le procureur Mario Métonou au cour de l’atelier tenu à Cotonou du 16 au 18 décembre 2019.

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Reporter sans frontière (Rsf) déplore l’interpellation et l’incarcération du journaliste Ignace Sossou pour « harcèlement » alors qu’il n’a fait que relayer les propos du procureur.  Pourquoi RSF exige la libération du journaliste ?

« La publication des propos exacts tenus par le procureur, révélés par un communiqué de l’agence française le 2 janvier, permet d’établir très clairement que le journaliste a repris mot pour mot à quelques exceptions près  les expressions utilisées par le magistrat au cours de cet atelier sans aucunement détourner le sens du message exprimé », a déclaré RSF sur son média.

RSF est revenu sur quelques mots saillants de la communication du magistrat qui sont au cœur de l’arrestation du journaliste Ignace Sossou. A en croire RSF le magistrat a effectivement estimé que les coupures internet utilisées “au Bénin ou ailleurs” traduisent un “aveu de faiblesse des pouvoirs politiques face au phénomène des fausses nouvelles ». Sans évoquer la suite des propos du procureur. Ce dernier à en croire Reporters Sans Frontières a aussi associé l’actuel code du numérique du pays à une “arme braquée sur la tempe des journalistes”.

“La condamnation de ce journaliste à 18 mois de prison ferme pour avoir rapporté des propos n’apparaît plus seulement comme une dérive grave et une peine illégitime que nous avions déjà dénoncées. Elle est désormais infondée en fait, estime Christophe Deloire, secrétaire général de RSF.

Après le développement effectué ci-dessus, RSF demande aux autorités béninoises de ne pas  « créer un précédent dangereux et inédit qui consisterait à mettre en prison des journalistes pour une absence de contextualisation alors même que les propos relayés ont bien été tenus et le sens du message conservé. Ce reporter doit être remis en liberté sans délai et les charges qui pèsent contre lui abandonnées le plus rapidement possible ».

 

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