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Affaire des écoutes : 4 ans de prison pour Nicolas Sarkozy



Nicolas Sarkozy aura beau dénié les faits qui lui sont reprochés, la sentence du parquet national financier a tranché contre lui. Ce mardi 8 décembre, le parquet a requis quatre ans de prison, dont deux avec sursis, à l’encontre de l’ancien chef d’État français.

L’équipe juridique de Nicolas Sarkozy a du mal à s’y faire, toutefois la déclaration du procureur du parquet est on ne peut plus claire. À la suite de ce procès inédit, l’ancien président de la République, jugé pour corruption et trafic d’influence, écope de quatre ans de prison, dont deux avec sursis. Ces mêmes peines sont adressées aux deux autres personnes inculpées dans cette affaire dite « des écoutes de Paul Bismuth ». Les deux autres accusés dans ce procès sont l’ex-haut magistrat Gilbert Azibert et Thierry Herzog, avocat historique de l’ancien président.

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« Les faits ne se seraient pas produits si un ancien président, avocat par ailleurs, avait gardé présent à l’esprit la grandeur, la responsabilité, et les devoirs de la charge qui fut la sienne », a expliqué le procureur Luc Blachon. Avant de poursuivre : « La République n’oublie pas ses présidents, ne serait-ce que parce qu’ils font l’histoire. À l’inverse, on ne peut pas admettre d’un ancien président qu’il oublie la République et ce qu’elle porte depuis plusieurs décennies : un État de droit ».

Le procureur estime d’ailleurs que cette affaire a eu des « effets dévastateurs qui viennent cogner les valeurs de la République ». Pourtant, au début du procès, Nicolas Sarkozy a martelé qu’il n’avait « jamais trafiqué » de sa vie. Ces dénégations ont été invalidées par la démonstration du « pacte de corruption » présentée par les deux représentants de l’accusation.

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Rappelons que le procès de Nicolas Sarkozy pour « corruption active » et « trafic d’influence » s’est ouvert le 23 novembre devant la 32e chambre du tribunal judiciaire de Paris. Il est accusé d’avoir noué un « pacte de corruption » avec le magistrat Gilbert Azibert pour obtenir des informations sur une procédure judiciaire le concernant.

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