L’opposition parlementaire ghanéenne a dénoncé jeudi la décision d’un tribunal de libérer huit membres d’un groupe de vigilance Delta Force. Ces personnes ont été accusées d’avoir envahi un tribunal à Kumasi, la deuxième ville du Ghana, pour libérer 13 de leurs collègues.
Le procureur principal de l’État a déclaré qu’il n’y avait pas suffisamment de preuves pour continuer à les garder en prison.
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Commandez MaintenantLes députés de l’opposition affirment par contre qu’il existe suffisamment de preuves sur les médias sociaux pour leur condamnation.
Le Procureur général du Ghana a réagi à la sortie de l’opposition. Il a nié avoir ordonné que l’affaire soit abandonnée et dit avoir donné des instructions pour qu’une nouvelle enquête soit ouverte.
Au Ghana, selon les observateurs beaucoup de comités de vigilance sont affiliés à des partis politiques. Ils sont régulièrement accusés de commettre des actes de violence en faveur des partis qu’ils soutiennent.