La justice française a émis mardi un mandat d’arrêt international à l’encontre du président syrien Bachar al-Assad. Il est accusé de complicité de crimes contre l’humanité en lien avec les attaques chimiques survenues à l’été 2013 en Syrie. Ces attaques au gaz sarin, notamment celles du 21 août 2013 dans la Ghouta orientale, ont entraîné la mort de plus de 1 000 personnes, selon les renseignements américains.
Quatre mandats d’arrêt ont été émis, visant Bachar al-Assad pour complicité de crimes contre l’humanité et complicité de crimes de guerre liés aux attaques au gaz sarin. Ces accusations portent sur des actes qui ont eu des conséquences tragiques sur la population civile et ont suscité une vive réaction au niveau international.
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Commandez MaintenantLes attaques au gaz sarin de l’été 2013 en Syrie, notamment dans la Ghouta orientale, ont été marquées par un nombre élevé de victimes. Les renseignements américains estiment à plus de 1 000 le nombre de morts lors de l’attaque du 21 août 2013. Ces événements ont été au cœur de vives tensions et ont attiré l’attention de la communauté internationale sur les atrocités commises pendant le conflit syrien.
Bachar al-Assad, président de la République arabe syrienne depuis le 17 juillet 2000, succédant à son père Hafez al-Assad, est maintenant visé par ces mandats d’arrêt internationaux. Les accusations portent sur sa complicité présumée dans les crimes contre l’humanité commis lors des attaques chimiques de 2013.
Cette décision de la justice française aura des répercussions importantes sur la scène internationale, intensifiant la pression sur le régime syrien. Les réactions des acteurs mondiaux seront scrutées de près, alors que la communauté internationale cherche à rendre justice pour les crimes commis en Syrie et à assurer que les responsables en répondent devant la justice. m