Les retardataires ont et auront toujours tord. Ce petit adage se confirme presque partout. Des élèves l’ont appliqué telle une leçon à leur enseignant. L’histoire toujours d’actualité se passe au Bénin, « le pays de pagaille ». Ce qualificatif ne vient pas de nous.
C’est le CEG1 Abomey-Calavi qui est au cœur des discussions. Selon la page Tokpa Tokpa, des élèves d’une classe de 3ème ont fait sortir de force leur professeur d’espagnol pour raison de retard.
« En retard de quelqu’un minutes, il aurait été interdit de salle par un groupe d’élèves qui l’ont violenté et ont jeté son sac, lui ordonnant d’aller d’abord prendre un billet d’entrée à la Surveillance. Toute la classe serait traduite en Conseil de Discipline », lit-on.
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Commandez MaintenantLa situation étonne car c’est plutôt les enseignants qui s’occupent des retards en veillant à la ponctualité de chacun. Cette fois, le monde va à l’envers. Ce qui est sûr, c’est que cette affaire risque de prendre des tournures inattendues dans les prochaines semaines. Quel est ce courage qui a permis à ces jeunes élèves du Bénin de s’adonner à une telle pratique non-recommandables?
On dresse nos oreilles en attendant…
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