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2020 : Guillaume Soro : « Si je suis élu Président de la République… »



Candidat déclaré à l’élection présidentielle de 2020, Guillaume Soro prend d’ores et déjà des engagements s’il venait à être élu Président de la République. Le Président de GPS promet qu’il n’y aura pas de prisonniers politiques sous sa gouvernance.

Ancien Président de l’Assemblée nationale ivoirienne, Guillaume Soro vit en exil après son retour manqué en Côte d’Ivoire, le 23 décembre dernier. L’ancien Chef du Parlement est par ailleurs visé par un mandat d’arrêt international pour tentative de déstabilisation du pouvoir d’Alassane Ouattara et des détournements de l’argent public. Ses compagnons de GPS, Générations et peuples solidaires, dont des Députés, sont également poursuivis et écroués à Abidjan.

L’ancien chef du Parlement estime cependant que les chefs d’accusation retenus contre ses camarades de parti et lui ne sont que des prétextes de ses anciens alliés du RHDP, Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix, pour l’écarter de la course à la présidence.

Cependant, retranché à Paris où il s’est exilé, l’ancien chef rebelle continue de marteler qu’il maintient sa candidature et qu’il est sûr de pouvoir remporter ce scrutin présidentiel, avec le soutien du peuple, comme il l’avait déclaré, le 7 mars dernier, lors de sa réplique au discours devant le Congrès du Président Alassane Ouattara.

Soro Kigbafori Guillaume prend donc l’engagement au cas où il accèdait à la Magistrature suprême, de ne pas faire arrêter un citoyen pour ses opinions. Dans un tweet publié dans la nuit de dimanche à lundi 16 mars, le Député de Ferkessédougou réitère cet engagement : « Élu Président de la République, ancien prisonnier d’opinion d’@amnestyintl (1995), je m’engage à ce qu’aucun homme politique n’aille en prison pour ses idées. »

Guillaume Soro, faut-il le noter, réclamait la libération des pro-Gbagbo et autres prisonniers d’opinion, alors qu’il était encore au perchoir. Le président Ouattara avait, dans la foulée, pris une ordonnance en août 2018 qui a permis la libération d’environ 800 personnes poursuivies dans le cadre de la crise postélectorale de 2010-2011. Les détenus militaires n’ont cependant pas bénéficié de cette mesure présidentielle.

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