En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Découvrez nos offres pour annonceurs - Publicité 4 Publicité 4 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Visitez 3Vision Group - Publicité 3 Publicité 3 banner Publicité 3

Mali : un nouvel hôpital mère enfant à Kayes, financé par un fils de la région



Le secteur de la santé est l’un des plus affectés par le sous-développement dans plusieurs pays d’Afrique ; et des consciencieux de la situation notamment les gouvernements et des bonnes volontés oeuvrent fortement pour remplacer cette difficulté par une grande aisance et ainsi qu’une bonne qualité de soins médicaux.

 

Mamadou Traore est l’un de ceux là. Avec un investissement d’environ 6,5 milliards de francs CFA, par le biais de la Fondation Harris, il installe un hôpital des plus modernes de la région. L’Hôpital privé ‘’Mère –Enfant’ ’de Kayes est bâti sur une superficie de deux hectares. Construit à Diyala dans la commune rurale de Liberté Dembaya, à quelques encablures de Kayes, l’édifice ouvrira ses portes très prochainement.

 

Cet hôpital ultra-moderne, dont la construction a été financée à 100% par Mamadou Traoré, est équipé de cent-cinquante lits pour diverses spécialités, notamment  la gynécologie, la pédiatrie, la cardiologie, l’ophtalmologie, etc.  Avec les quarante-trois salles pour les hospitalisations communes et équipées chacune de trois lits, l’immeuble sanitaire contient huit chambres VIP.

 

Grâce à l’installation d’équipements médicaux de dernière génération, l’hôpital mère enfant de Kayes risque de devenir la toute première dans tout la région ouest-africaine, une première dans une région au Mali et rare dans bon nombre de pays africains, en dehors du Maroc, de la Tunisie et autres, reconnus pour la qualité de leurs plateaux techniques.

 

La splendeur du bâtiment et la beauté des installations laisse à croire que des hautes personnalités pourront bien se faire soigner dans cet édifice sanitaire, en tout cas si les conditions de travail sont réunies.

 

Un emplacement qui n’a pas été choisi par hasard selon ce que pensent certaines personnes, qui estiment que « l’emplacement de la région de Kayes, frontalière au Sénégal, à la Mauritanie et à la Guinée a pesé dans le choix de la réalisation de ce grand projet sanitaire. « Les échanges « commerciaux, des liens séculaires, etc., et plusieurs autres facteurs, justifient son implantation ».

 

La construction de l’hôpital Mère-Enfant peut avoir beaucoup de bons résultats et influences sur la région qui l’abrite. Tant sur les plans économique, social, culturel que sanitaire. Sur le plan économique, cette structure sanitaire, va permettre de créer de l’emploi, de la richesse et de la valeur ajoutée au niveau local.

 

Socialement, l’hôpital Mère-Enfant de Kayes pourra assurer la couverture des soins au profit des populations considérées comme, les premières bénéficiaires directs. Il pourra également renforcer le plateau technique, réduira les cas d’évacuations sanitaires sur Bamako et peut servir de cadre pour assurer les soins des régions limitrophes des pays voisins en termes d’une prise en charge de qualité.

 

Culturellement, il va rassurer les visiteurs de passage ou les touristes qui veulent visiter les sites touristiques, une aubaine pour le tourisme régional. Les malades qui viendront des pays frontaliers pour se soigner, feront des économies sur les coûts de leurs séjours dans la cité des rails, à cause de la réciprocité de Kayes et leurs pays respectifs.

 

Même si les travaux sont toujours en cours et presque à terme, la date de l’ouverture officielle du nouvel hôpital dont la construction a entièrement été financée par Mamadou Traore est encore ignorée.

Lancez-vous dans une nouvelle aventure avec DoingBuzz

Que vous cherchiez à avancer dans votre carrière ou à élargir vos horizons académiques, DoingBuzz est là pour vous. Découvrez une multitude d'offres d'emploi et de bourses d'études adaptées à votre parcours.

doingbuzz DIRECT

Cet article est réservé aux abonnés. Déjà abonné ?

Enquêtes, interviews, analyses…

Abonnez-vous et accédez à tous nos articles en illimité !